Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Horrible Music for Horrible People

15 août 2015

Belgique 1989 ( credit photos: B.Tombstone ) :

PSYCHOBILLY BELGIQUE 1989

 

PSYCHOBILLY BELGIQUE 1989

 

PSYCHOBILLY BELGIQUE 1989

Publicité
Publicité
15 août 2015

Dessin du jour #3 :

DESSIN

15 août 2015

This Is England '90 :

Tout le monde attend avec impatience la sortie de This is England '90 sur channel 4 en septembre. En attendant la sortie voici un petit résumé.

Depuis This Is England le film, sorti en 2006, l’histoire se concentre sur la vie de Shaun dans une cité industrielle des Midlands. Âgé de 12 ans en 1983, il rejoint un gang de jeunes skinheads dirigés par Andrew “Combo” Gascoigne, incarné par l’excellent Stephen Graham.

this is england

Le nouveau look des personnages dans This is England '90

Shaun et ses potes ont depuis grandi sur le petit écran dans deux mini-séries: 

This Is England ’86 et This Is England ’88, sortie il y a trois ans. Logiquement, Channel 4 s’apprête à diffuser en septembre 2015 le 4ème volet : This Is England ’90Après avoir adopté la culture skinheads, ska, mods; le gang se plonge à corps perdu dans l’acid house. On peut donc s’attendre à pas mal de scènes de soirées sous ecstasy et à pas mal d’Happy Mondays. 

Tous les personnages culte seront au rendez vous: Lol, Woody, Shaun, Milky, Smell, Gadget, Harvey, Kell, Trev, et Combo. 

15 août 2015

Belgique 1989 ( credit photos: B.Tombstone ) :

PSYCHOBILLY BELGIQUE 1989 concert

 

PSYCHOBILLY BELGIQUE 1989 concert

 

PSYCHOBILLY BELGIQUE 1989 concert

14 août 2015

Crown Court est venu dépoussierer la Oi! ( par Vice - Aout 2015 ) :

- Petite correction Oi! ne s'écrit pas avec un tréma sur le i.

Texte par Noisey ( vice )

Il y a aujourd’hui deux catégories de oï!. La première, strictement partisane, à gauche comme à droite, est bourrée de morceaux médiocres et peu originaux, dont plus personne ne se souviendra dans six mois. La seconde, sans couleur politique, est tellement aseptisée et mollassonne qu'on se demande encore ce qui la maintient en vie. Que reste t’il donc aux skinheads qui se respectent ? Bien que la oï! soit un genre extrêmement codifié, aux possibilités somme toute assez limitées, j’ai toujours eu du mal à comprendre comment autant de groupes arrivaient à se foirer. Heureusement, certains jeunes groupes arrivent à préserver l’esprit originel de la scène et à faire honneur aux traditions tout en apportant une gigantesque dose de fraîcheur au genre.

C'est le cas 
Crown Court, groupe londonien de premier choix, formé en 2014 qui a balancé en une simple démo et un EP une invraisemblable poignée d'hymnes bruts et fédérateurs, à écouter poing en l’air et Docs coquées aux pieds. À l’occasion de la sortie de leur nouvel EP English Disease sur Rebellion Records, j’ai pu m’entretenir avec Nick et Charlie, respectivement bassiste et guitariste du groupe. Et ils ont même accepté de nous filer un avant-goût du EP à venir avec le morceau « Jack Jones ».

crown court

Crown Court ( au centre Trevor chanteur de la formation )

Noisey : D’où vient le nom du groupe ? Vous l’avez choisi en référence au morceau du groupe écossais On Parole ?

Nick : Ouais, t’as tout juste !

Charlie : Ouais, c’est en rapport à ce morceau. C’est Nick et notre chanteur Trevor qui l’ont trouvé, on voulait un nom qui ne fasse pas cliché. Crown Court est resté. 

Vous entendez quoi par « English Disease » ? C’est une vraie maladie ou c’est une métaphore ?

Nick : C’était une expression de Thatcher pour décrire les hooligans des clubs de foot. Si c’était une vraie maladie, Trevor serait un vrai cas d’école !

Charlie : Ça collait bien au groupe. On est anglais, et ici semer la zizanie est un sport national. On est connu dans le monde entier pour ça.

Quand exactement êtes-vous tombés dans le monde merveilleux des skins et qu'est-ce qui vous a motivé à vous mettre à la oï! ? 

Nick : Quand tu grandis à Londres, tu côtoies toutes les sous-cultures possibles dès ton plus jeune âge. Mes parents étaient punk, donc j’ai très tôt eu conscience des différentes tribus. Faire de la oï!, comme du hardcore, c’est juste la meilleure évolution qu’ait connu le punk mais on trouvait qu’il manquait quelque chose aux groupes qui s’en revendiquaient.
Charlie : J’ai toujours été sensible au mouvement skinhead. Tu ne peux pas l’éviter ici. Là où j’ai grandi, beaucoup d’enfants avaient des parents qui étaient skin dans leur jeunesse ou qui partageaient une culture casual. Mes deux parents étaient punk dans les années 80, j’écoute du punk et du reggae depuis que je suis môme. On a monté Crown Court parce qu’on trouvait qu’il y avait trop peu de bonne oï! moderne. Beaucoup des groupes actuels sonnent comme Green Day, à la différence qu’ils portent des Docs et des bretelles. Ce n’est pas de la oï! à mon sens. C’est juste du rock’n’roll, mais c’est pas sensé être quelque chose de sympa. 

Depuis plusieurs dizaines d’années, le mouvement skin est morcelé en plusieurs sous-groupes, chacun estimant représenter le skinhead authentique. Selon vous, c’est quoi être skin en 2015 ?

Charlie : Il y a une vraie crise d’identité du mouvement skin. Les gens ne sont jamais d’accord. Moi, j’ai pas le temps pour ça. Je suis juste un mec de Londres qui aime bien se saper et jouer du punk et de la oï! Il faut que les gens voient un peu plus loin que le bout de leur nez et arrêtent de vouloir rentrer bêtement dans les vieux stéréotypes qu’ils ont de la jeunesse anglaise. Ils doivent aussi comprendre le contexte politique de l’époque à laquelle évoluaient les skins. Les skins étaient les gros bras de la rue, les partis de l’époque, qu’ils soient de droite ou de gauche se servaient d’eux pour faire le sale travail. Aucun de ces groupements ne s’intéressait à la musique ou à la culture skin. Les gens doivent bien se rappeler de ça. 

Nick : Beaucoup des skins de la première heure, de la fin des années 60/début des années 70, refusent catégoriquement tout ce qu’ont apporté les skinheads des années 80. C’est stupide. En revanche, la scène oï! s’est surtout divisée en fonction des grandes idées politiques de ceux qui y appartenaient. C’est hyper chiant, ça n’a aucun rapport avec la vraie vie, les vrais gens et la vraie politique. 

Moi j’écoute tout, des Gaylads à Larry Williams en passant par Indecent Exposure (et plein d’autres trucs qui n’ont aucun rapport avec l’univers skinhead d'ailleurs). Je porte des ourlets de différentes longueurs, mais toujours la couture vers l’intérieur. Parfois, j’ai les cheveux courts ou je rase les côtés et l’arrière. Aux pieds, je porte des chaussures basses ou des boots, ça dépend. Si je parle beaucoup de fringues c’est parce que c’est une partie intégrante de la culture skin, mais ça ne devrait pas être un uniforme figé et obligatoire, respecte le look des anciens mais habille toi comme tu aimes et fais le pour toi. Pardon, je m’égare. 

Vous avez l’air de bien connaître votre domaine. Vous avez pas deux albums oï! à nous faire partager, un peu plus obscurs ou oubliés à tort, d’hier ou d’aujourd’hui ?

Nick : En ce moment, la oï! française marche bien en Angleterre, mais étrangement pas le EP des Swingo Porkies. Pourtant c’est le premier groupe de oï! française de tous les temps et ils ont certainement le meilleur saxo du genre. Ils se sont reformés récemment avec Wattie de Raxe et Lion’s Law au chant. Respect à lui et à tous ses groupes. Ensuite, il y a Blade, un groupe japonais du milieu des années 90. Ils avaient un son très différent des groupes de Tokyo de l’époque des Samurai Spirit Skinhead (SSS), ils faisaient quelque chose de beaucoup plus mélodique. Leur titre « Boycott » est un des meilleurs morceaux punk que j’ai entendu. Et puis, ils savaient se sapper. 

Je trouve ça cool que vous ne sortiez que des EP, c’est hyper efficace. Mais vous pensez sortir un album plus tard ?

Charlie : Ouais, j’aimerais bien sortir un album un jour.

Nick : On en a discuté mais on sait pas si ça se fera un jour. On a d’autres groupes à côté, Trev a des horaires bizarres et on est pas franchement très organisés, ça va être compliqué mais c’est ce à quoi on aimerait aboutir. 

Dans les années 80, mes potes et moi étions à fond dans la oï! anglaise. À l’époque, ce qui se faisait en oï! américaine était assez merdique, mais j’ai l’impression que ça a changé. Y’a des groupes américains de oï! que vous aimez particulièrement ? 

Nick : Ouais, y’a plein de bonnes choses qui sortent aux Etats-Unis. Récemment, j’ai adoré l’album de Vanity. C’est de la bonne musique skinhead, très influencée par le rock’n’roll, bien dans l’esprit des sorties de Chiswick Records. Battle Ruins, le groupe oï! de Brendan Radigan défonce aussi. Et je ne parle même pas des Templars, qui tiennent toujours le pavé et qui continuent d’être aussi prolifiques. Ce n’est peut-être pas un groupe « moderne » de oï!, mais ils sont, encore aujourd’hui, le meilleur groupe oï! des États-Unis.
Charlie : Je suis d’accord avec Nick. Le nouvel album de Vanity bute. Et de toute leur carrière, les Templars ont toujours visé juste. 

J’aimerai avoir votre avis concernant ces groupes mythiques de oï! qui ont, après leur premier album, sorti des trucs complètement différents. Par exemple, l’album Second Empire Justice de Blitz, bourré de synthés.

Nick : C’est cool, j’aime bien. Mais bon, c’est quand même moins bon que ce qu’ils ont sorti sur No Future. 

Et pour le son plus heavy metal de Cockney Rejects sur The Wild Ones ?

Nick : Ouais, ça va, mais j’écoute plus souvent les compilations Greatest Hits 1 et 2.

Charlie : Ça va, il est pas mal mais je pourrai m’en passer. 

Et Volunteers, le tournant plus pop des Sham 69 ?

Nick : C’est de la merde.

Charlie : Je ne l’ai écouté qu’une fois, c’était la première et la dernière. 

Dernière question : qui est le boss des skins, Hoxton Tom ou Joe Hawkins ?

Charlie : Hoxton Tom, sans hésiter. 

Nick : Y’a pas de compétition possible, l’award va à Howton Tom McCourt direct. C’était le mec le mieux sapé des années 80, le bassiste du meilleur groupe oï! de tous les temps et un super DJ fana de soul. Une légende.

Merci les gars. Un dernier commentaire peut-être ?

Nick : Merci à toi pour l’interview, Freddy. New Breed est ma compil de hardcore préférée depuis toujours. 

Charlie : Si vous aimez la culture skinhead alors respectez ses racines et son futur, ne rentrez pas dans une routine débile. Je n’aurais jamais joué de guitare sans le hardcore de New-York, merci pour ça. 

Publicité
Publicité
13 août 2015

Dessin du jour #2 :

DESSIN PASKAL M

13 août 2015

The Sewer Rats :

Les " Sewer Rats " ( groupe de " punkabilly " ) ont été formé en 2005 par Chris Gin ( chanteur et guitariste ). Après quelques E.P et des tournées à travers l'europe où ils ont notamment partagé la scène avec des groupes comme Dropkick Murphys, Mad Sin, Demented Are Go, The Meteors, The Quakes et bien d'autres; Le groupe sort son premier album " Rat Attack " en 2008 chez Bitzcore records ( label allemand ). En 2010 les " Rats d'égout " sortent chez Mad Drunken Monkey Records un E.P nommé " Drunken Calling ". Leur second album " Wild at Heart " sort en 2011 chez Rookie Records, pour l'enregistrement de cet album la formation a travaillé avec le grand producteur allemand Uwe Sabirowsky ( Mad Sin ). En 2013 le trio effectue des tournées un peu partout sur le globe ( Chine, Usa, Europe... ), leurs permettant ainsi de ce produire dans des festivals comme le " Beijing Midi Festival " et le " Mighty Sounds Festival "... En 2014 Chris, Schorni et Danny sortent un vinyl ( de couleur rose hahaha ) appelé " Rocket to Usher ". Pour 2015 " The Sewer Rats " effectuent une tournée U.S et peut être un album pour la fin de l'année ;) .

Clip réalisé en 2008 ( Le line-up était différent et le son plus psycho, pas encore " punk " ).

Le Line-Up actuel :

Schorni Walker ( basse et contre basse )

Schorni Walker

Chris Gin ( n°1 Guitare & Chant )

chris gin

Danny Dillinger ( batterie )

Danny Dillinger

 

Clip réalisé en 2014.

12 août 2015

Stressor ( credit photo: Vladimir Antonov ) :

stressor

stressor

stressor

stressor

stressor

9 août 2015

Cwbillys :

Cwbillys s'est formé en 2006 à Curitiba ( Brésil ). La formation originale était composée de Bruno B. Rocker, Dani Cash et Pepeu Flukeman. Après un changement de batteur, le line-up ne bougera plus... Il est actuellement composé de trois membres ( 2 hommes et 1 femme ) :

" Pepeu Flukeman " ( contrebasse )

cwbillys

" Bruno B. Rocker " ( guitare et chant )

cwbillys

" Clau Sweet Zombie " ( batterie )

cwbillys

Cwbillys a la particularité de chanter en portugais, du psychobilly mais avec des influences rockabilly, country et blues.

8 août 2015

Guitar Slingers :

Le groupe s'est formé en 2007, la même année Guitar Slingers sort son premier album " One Man Freakshow ". Le Line-up n'est pas fixe et change plusieurs fois, il est actuellement composé de 4 membres :

Andi ( guitare et chant )

andi

Bruno ( Basse )

bruno malo

Gaybeul ( batterie )

gaybeum

Doyley ( guitare et chant )

philip doyle

Leur dernier album " Carnievil of Souls " est sortit en 2015 ( Disponible chez Diablo Records )

carnevy

La pochette a été réalisée par les soins de Andy Poluektov

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 > >>
Publicité
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 39 870
Publicité